AU MENU DU JOUR
Titre : La Caste Des Méta-Barons – Tomes 5 à 8
Scénario : Alejandro Jodorowsky
Dessin : Juan Giménez
Éditeur : Les Humanoïdes Associés
Parution : 2022
Origine : France
272 pages
De quoi ça cause ?
Depuis des siècles, les Castaka exploitent seuls la planète Marmola, grâce au secret de l’épyphite, une huile antigravitationnelle qui leur permet de manipuler le marbre comme s’il ne pesait rien. Lorsque l’existence de l’épyphite est dévoilée à la galaxie, c’en est fini de la tranquillité de la famille, et l’histoire des méta-barons va commencer, dans le sang, la mort, et la trahison, quand tous les vautours de la galaxie vont les assiéger pour leur arracher leur secret.
Ma Chronique
L’année 2024 du blog s’est achevée sous le signe du roman graphique, 2025 s’ouvre de même avec ce second opus de l’intégrale de La Caste Des Méta-Barons. Il devrait en être de même pour ce début janvier, ayant la ferme intention de découvrir le diptyque des Monstres d’Emil Ferris.
Ces quatre tomes constituent la seconde et dernière partie de La Caste Des Méta-Barons, publiés entre 1998 et 2003 ils vous invitent à poursuivre l’histoire des méta-barons en découvrant, tour à tour (et parfois en destins croisés), les destins de Tête d’Acier, Aghora et Sans-Nom, le dernier de la lignée.
Un quotidien fait de violence et de combats, d’une part en raison du processus initiatique des méta-barons qui leur impose d’endurer maintes souffrances afin de prouver leur valeur, avec en guise d’ultime épreuve un duel à mort contre son propre père. Le méta-baron étant par essence un mercenaire, œuvrant principalement au service de l’Empire, il devra aussi affronter les envahisseurs qui menacent Terra 2014. Sans parler de divers complots et trahisons internes qui viendront alimenter un emploi du temps déjà bien chargé.
On retrouve le même univers graphique fortement empreint de biotechnologie qui fait parfois penser au génialissime H.R. Giger (à qui l’on doit notamment le xénomorphe du film Alien ainsi que son vaisseau).
L’histoire des méta-barons nous est toujours contée par Lothar et Tonto, les deux robots qui attendent le retour de leur maître, Sans-Nom. Les deux tas de ferrailles sont toujours aussi prompts à se chamailler à grand renfort de noms d’oiseaux robotiques.
Le huitième et dernier tome marque clairement la fin d’un cycle… et pour moi la fin de mon immersion dans l’univers des méta-barons, je passe mon tour pour la série Méta-Baron qui rebondit sur la conclusion de la présente série.
Les couvertures originales des tomes 5 et 6
Les couvertures originales des tomes 7 et 8
MON VERDICT





