[BRD] Thor – Love And Thunder

À L’AFFICHE DU JOUR


Titre : Thor – Love & Thunder
Réalisation : Taika Waititi
Production : Marvel Studios
Distribution : Walt Disney Studios
Origine : États-Unis
Durée : 1h59

Casting

Chris Hemsworth : Thor
Natalie Portman : Jane Foster
Christian Bale : Gorr le Boucher des Dieux
Tessa Thompson – Valkyrie
Russell Crowe : Zeus

Le pitch

Quand il apprend qu’un individu surnommé Gorr le Boucher des Dieux s’est mis en tête de tuer tous les dieux de l’Univers, Thor quitte les Gardiens de la Galaxie pour mettre fin à cette odyssée meurtrière.

Il n’affrontera pas le danger seul, Korg et Valkyrie se joindront à lui dans sa quête. Ainsi qu’une autre alliée, pour le moins inattendue…

Ma chronique

Thor – Love And Thunder est le quatrième film consacré au Dieu Viking, c’est aussi le vingt-neuvième film du MCU (Marvel Cinematic Universe) et le sixième de la phase IV.

Avec Taika Waititi aux commandes de ce nouveau volet, on pouvait s’attendre à ce que le film reste dans le même ton que le précédent, Thor – Ragnarok, un mélange bien dosé entre comédie et action. Dans Love & Thunder, le réalisateur pousse encore plus loin dans la comédie, au point de frôler la parodie parfois. Je conçois volontiers que ce choix puisse déconcerter les puristes de l’univers Marvel, mais pour ma part j’ai trouvé ce mélange de légèreté et de sérieux plutôt agréable.

Au niveau comique je pense que le summum est atteint avec les deux chèvres géantes que Thor reçoit en cadeau (empoisonné) après une mission réussie (avec quelques dommages collatéraux). Chacune de leur apparition est ponctuée d’un bêlement strident qui ne manquera pas de faire son effet (le cri en question est bien celui d’une chèvre, devenu culte après avoir servi de fond sonore sur une chanson de Taylor Swift dans un mixage vidéo : voir sur Youtube).

La visite des trois héros à Omnipotence City, la Cité des Dieux, vaut aussi son pesant de cacahuètes avec quelques divinités pour le moins surprenantes !

Le comique de certaines scènes et situations (Thor qui essaye de « charmer » Mjolnir afin qu’il lui revienne… suscitant la jalousie de Stormbreaker) ne nuit en rien au déroulé de l’intrigue. Celle-ci n’est pas laissée en plan et donnera même lieu à quelques séquences où les effets spéciaux seront, une fois encore, mis en valeur.

Le personnage de Gorr apporte la touche de noirceur qui viendra équilibrer l’ambiance générale du film. Un personnage qui doit son pouvoir à une arme maudite, la Necrolame, un pouvoir qui se paie au prix fort… ça tombe bien, Gorr n’a plus rien à perdre.

Après les traditionnelles séquences post-génériques, l’on nous informe que Thor reviendra. Si les studios respectent la volonté de Chris Hemsworth – en supposant qu’il ne change pas d’avis –, le prochain film devrait être le dernier de la saga consacrée à Thor. L’acteur a en effet fait savoir qu’il souhaitait raccrocher l’armure de dieu viking, ajoutant même qu’il espérait que son personnage connaîtrait une mort brutale… Wait and see.

En attendant force est de reconnaître qu’il est difficile, pour ne pas dire impossible, de trouver un quelconque fil rouge liant les différents films de cette phase IV du MCU…

♥♥♥♥½

[BRD] Free Guy

À L’AFFICHE DU JOUR


Titre : Free Guy
Réalisation : Shawn Levy
Production : 20th Century Fox
Distribution : The Walt Disney Company
Origine : États-Unis
Durée : 1h55

Casting

Ryan Reynolds : Guy
Jodie Comer : Millie / Molotov Girl
Joe Keery : Keys
Lil Rel Howery : Buddy
Utkarsh Ambudkar : Mouser
Taika Waititi : Antwan

Le pitch

Un employé de banque, découvrant un jour qu’il n’est en fait qu’un personnage non joueur dans un jeu vidéo en ligne, décide de devenir le héros de sa propre histoire quand il croise la route de Molotov Girl. Ensemble, ils vont tout mettre en œuvre pour sauver le monde de Free City, avant qu’il ne soit trop tard…

Ma chronique

Dès que j’ai entendu parler de ce film ça a fait tilt dans mon neurone défaillant, la bande annonce n’a fait qu’attiser davantage ma curiosité. Il m’aura fallu un peu de temps mais j’ai fini par pouvoir le visionner et franchement je ne le regrette pas, il a été à la hauteur de mes espérances, et même au-delà !

De prime abord on pouvait s’attendre à un pur divertissement, une comédie bourrée d’action et un peu barrée… et ça me convenait parfaitement. Mais il y a un peu plus que ça, une profondeur inattendue qui apporte un réel plus au film (et donc au spectateur).

Ryan Reynolds, qui interprète Guy, est brillant dans le rôle du personnage un peu candide (voire franchement cucul) qui décide du jour au lendemain de prendre sa vie en main et de changer un destin tout tracé (un tant que PNJ il répète inlassablement les mêmes actions jour après jour). Son personnage évolue au fil des événements, sans toutefois totalement perdre son innocence et sa capacité à s’émerveiller de tout ce qui révèle à lui.

Il est secondé par Jodie Comer (la Vilanelle de la série Killing Eve) qui impose sa présence et son charisme sans avoir besoin de surjouer. Un rôle qu’elle doit interpréter dans deux contextes distincts, d’une part dans le monde virtuel de Free City où elle est Molotov Girl ; d’autre part dans la vrai e vie où elle est Millie. Dans les deux cas son objectif est le même, prouver que Antwan (le grand patron des studios Soonami) lui a volé son projet pour créer Free City.

Les personnages secondaires ne sont pas pour autant laissés sur le carreau. À commencer par Keys, ancien « associé » de Millie qui travaille désormais comme développeur pour Antwan mais qui va assez vite s’avérer beaucoup moins effacé qu’il n’y parait. De son côté Antwan s’illustre surtout par un égo surdéveloppé et des crises de colère irraisonnées. Et dans le monde de Free City, Buddy, le collège PNJ de Guy, est partagé entre son amitié pour Guy et la crainte de le suivre hors des clous.

Car c’est bien là l’une des grandes forces de ce film, une même intrigue qui se joue à la fois dans le monde virtuel de Free City (une espèce GTA en version hardcore, la violence sans limite est le maître mot du jeu), et le monde réel. Une intrigue qui fait la part belle à l’action mais aussi aux relations entre les personnages.

Au premier degré on peut voir en Guy un PNJ qui va développer sa propre intelligence artificielle pour se sortir d’une routine codée (ce qui est aussi l’origine du projet crée par Millie et Keys). Si on pousse la réflexion un peu plus loin, le même raisonnement peut s’appliquer à n’importe qui dans le monde réel, doit-on se contenter de suivre son prétendu destin ou doit-on, au contraire, prendre en main sa destinée ? Ce n’est certes pas la réflexion qui va révolutionner le monde de la philosophie contemporaine, mais l’approche n’en demeure pas moins intéressante.

Une double lecture qui assume pleinement son côté divertissement et fait du bien aux zygomatiques sans toutefois plonger les neurones en profonde léthargie.

Visuellement le film est irréprochable, l’image est nickel et les effets spéciaux parfaitement maîtrisés et intégrés à l’intrigue (il faut dire que le côté virtuel repousse les limites). Les amateurs repéreront sans mal de nombreuses références à la pop culture, et notamment au monde des jeux vidéo.

Une opération payante pour la 20th Century Fox et les studios Disney qui, avec une mise de départ relativement modeste (modestie hollywoodienne cela s’entend) de 91 millions de dollars, ils affichent à ce jour un box-office mondial dépassant les 331 millions de dollars.

♥♥♥♥½

[BRD] Black Panther

A L’AFFICHE DU JOUR

Black Panther

Titre : Black Panther
Réalisation : Ryan Coogler
Production : Marvel Studios
Distribution : Walt Disney Company
Origine : USA (2018)
Durée : 2h15

Le casting

Chadwick Boseman : T’Challa / Black Panther
Michael B. Jordan : N’Jadaka / Erik Killmonger
Lupita Nyong’o : Nakia
Danai Gurira : Okoye
Letitia Wright : Shuri
Martin Freeman : Everett K. Ross.
Daniel Kaluuya : W’Kabi
Andy Serkis : Ulysses Klaue

Le pitch

Après la mort de son père, le prince T’Challa rentre au Wakanda afin d’y être couronné roi.

A Londres, Ulysses Klaue vole un artefact wakandais à base de vibranium afin de le revendre. Si le vibranium tombait entre de mauvaises mains, l’avenir du Wakanda, et peut-être même du monde, pourrait bien être menacé.

T’Challa va tout mettre en oeuvre pour empêcher la transaction, mais il ignore encore que celle-ci n’est que la partie visible de l’iceberg ; son véritable ennemi tire les ficelles dans l’ombre…

Ma chronique

Black Panther est le dix-huitième film du MCU (Marvel Cinematic Universe) et le sixième de la phase 3, phase qui devrait s’achever en 2019 avec le film Avengers 4.

Pour le profane qui découvrirait Black Panther (et qui ferait abstraction du générique qui affiche clairement la couleur), difficile d’imaginer que le film puisse s’inscrire dans le cycle du MCU. Alors que les précédents films du cycle nous avaient habitués à croiser plusieurs super-héros, ici on se concentre uniquement sur le personnage de T’Challa et l’essentiel de l’intrigue se déroule sur ses terres, le Wakanda (il faut dire que la devise du Wakanda pourrait être : « Pour vivre heureux, vivons cachés »).

Pour rester dans la comparaison avec les derniers films du MCU, Black Panther mise d’entrée jeu sur un ton moins léger (je pense notamment au très décalé, mais néanmoins excellent Thor – Ragnarok). Il y a bien çà et là quelques touches d’humour, mais ce n’est clairement pas l’un des enjeux majeurs du film.

Le film mise beaucoup sur ses personnages et leurs relations, à ce titre il mise beaucoup sur les personnages féminins qui sont appelés à tenir des rôles déterminants dans le déroulé de l’intrigue. Ainsi le jeune roi pourra compter sur le soutien indéfectible (et très actif) de sa mère (Ramonda), de sa soeur (Shuri), de son ex (Nakia), mais aussi d’Okoye, son chef des armées (une armée exclusivement féminine façon amazones).

De fait l’équipe du film a fait appel à un casting presque exclusivement afro-américain ou africain ; un pari réussi au vu du résultat à l’écran.

Donner la part belle aux personnages n’occulte pas pour autant l’action (on est chez Marvel pas devant un film d’art et d’essai crévindiou). Comme d’hab il n’y a rien à redire sur les effets spéciaux et les scènes de combat, c’est du véritable travail d’orfèvre. Chapeau bas pour la bataille finale qui est juste superbe.

Si les décors urbains et technologiques n’ont apparemment plus aucun secret pour les équipes en charge des effets spéciaux, les grands espaces naturels semblent encore leur donner du fil à retordre. Les extérieurs du Wakanda font vraiment trop artificiels pour convaincre (dommage notamment pour le coucher de soleil final).

Il n’en reste pas moins que le film reste globalement très bon, le divertissement est assuré avec un soupçon de réflexion en bonus.

Avec un budget de 200 millions de dollars, le film se classe dans la partie haute si on le compare à l’ensemble du MCU (Top 5 si l’on inclut les 2 volets d’Avengers, Top 3 si on les exclut) ; un budget largement rentabilisé au vu du box-office mondial qui dépasse les 1,3 milliard de dollars (le troisième meilleur résultat si l’on prend en compte les Avengers, le meilleur si on les exclut).

Pour continuer ma progression dans le MCU en respectant l’ordre de sortie des films, la prochaine séance devrait être consacrée à Avengers – Infinity War… j’en bave d’avance !!!

♥♥♥♥

[BRD] Dr Strange

Dr StrangeGrand fan de Marvel depuis que je suis gosse, je suis avec attention l’évolution de l’univers cinématographique (MCU pour les intimes) de l’usine à super héros ; surtout quand il s’agit de nous proposer de découvrir un personnage jusque là inédit. C’est toutefois avec une certaine appréhension que j’ai visionné Dr Strange réalisé par Scott Derrickson.
Le Dr Stephen Strange (Benedict Cumberbatch) est un brillant neurochirurgien, mais aussi un homme égocentrique, arrogant et imbu de lui même. Suite à un grave accident de voiture, il perd l’usage de ses mains, pour les médecins son cas est sans issue. En ultime recours et sans conviction, il se rend au monastère de Kamar-Taj à Katmandou afin d’y rencontrer l’Ancien (Tilda Swinton). Sur place, l’Ancien refuse d’enseigner son savoir à quelqu’un d’aussi incrédule et obtus. Toutefois, l’un de ses fidèles disciples, Karl Mordo (Chiwetel Ejiofor), finira par convaincre son maître de laisser une chance au Dr Strange…
Je m’explique quant à mon appréhension initiale : quand j’ai lu les comics j’avoue avoir été complètement largué par la notion de multivers et de réalité alternative (des concepts qui me sont plus familiers aujourd’hui), du coup je ne comprenais pas grand chose à l’histoire et de fait j’ai rapidement renoncé à suivre les aventures de Dr Strange.
Je ne sais pas si c’est la maturité ou la qualité des effets visuels (sans doute un peu des deux) mais durant le film, du début à la fin, tout semblait couler de source, clair comme de l’eau de roche ; à aucun moment je ne me suis trituré les méninges afin de savoir dans quelle réalité se déroulait l’action.
J’ai tout de suite accroché, sans forcément adhérer immédiatement au personnage de Stephen Strange, loin s’en faut ! Durant la première partie du film le gars est une véritable tête à claques, puant de suffisance, heureusement au fil de son initiation il s’améliore.
Tout le film ne repose, heureusement, pas que sur la formation du Dr Strange, il va rapidement être confronté à Kaecillius (Mads Mikkelsen), un ancien disciple de Kamar-Taj qui a décidé d’utiliser ses pouvoirs pour soumettre notre monde à la Dimension Noire de Dormammu.
Marvel oblige les effets spéciaux et visuels sont irréprochables, plus encore dans ce film, du fait des pouvoirs particuliers que les Anciens peuvent utiliser afin de déformer la réalité. Le résultat est franchement bluffant !
Comme souvent chez Marvel, l’humour est omniprésent, même dans le feu de l’action. A ce titre je me suis franchement marré lors de la confrontation entre Strange et Dormammu.
Comme d’hab ne zappez pas les séquences post générique, deux courtes scènes qui devraient vous en apprendre en peu plus sur les futures apparitions du Dr Strange.
D’ici la fin de l’année nous devrions encore avoir le droit à trois films s’inscrivant dans la troisième phase du MCU : Les Gardiens De La Galaxie 2 (avril), Spider-man : Homecoming (juillet) et Thor : Ragnarok (octobre/novembre). Je serai bien entendu fidèle au poste, mais j’attendrai les versions Blu-ray pour les visionner.

♥♥♥♥

[BRD] Suicide Squad

Suicide SquadPour ma première chronique cinéphile de l’année 2017 j’ai opté pour un film qui attisait ma curiosité malgré un accueil mitigé : Suicide Squad de David Ayer.
Pour faire face à une éventuelle menace liée aux méta-humains, l’agent Amanda Waller (Viola Davis) propose à l’état-major la création d’une Task Force X composée des pires criminels de Gotham City. Force dirigée par elle même et le Colonel Rick Flag (Joel KInnaman). Malgré quelques réticences initiales le projet sera validé afin de contrer les projets de l’Enchanteresse (Cara Delevingne)…
Vous l’aurez compris nous avons lorgné du côté de l’univers DC Comics, et plus précisément du côté des super-méchants avec au casting Floyd Lawton / Deadshot (Will Smith), Dr Harleen Quinzel / Harley Quinn (Margot Robbie), Digger Harkness / Captain Boomerang (Jai Courtney), Chato Santana / El Diablo (Jay Hernandez) et Waylon Jones / Killer Croc (Adewale Akinnuoye-Agbaje). Plutôt prometteur non ? Surtout si vous ajoutez en guest Le Joker (Jared Leto).
Sur le papier nous avons le droit à du lourd mais une fois transposé à l’écran le résultat reste très mitigé. Jared Leto surjoue la folie pour interpréter le Joker, on est loin de l’interprétation magistrale de Heath Ledger dans The Dark Knight de Christopher Nolan. Quant à la fameuse Task Force X les membres manquent cruellement de méchanceté, parfois ça frôle même la sensiblerie. Le fiasco est toutefois évité grâce à l’interprétation de Margot Robbie qui incarne à la perfection la folie, la fougue et l’insouciance de Harley Quinn.
A vrai dire hormis l’Enchanteresse et son projet de destruction de l’humanité, la véritable ordure du film reste Amanda Waller ; Viola Davis réussit à merveille à déshumaniser son personnage pour en faire un agent froid et calculateur. Je ne vous cacherai pas que plus d’une fois j’ai espéré qu’elle connaîtrait une fin brutale ; mais ne comptez pas sur moi pour vous révéler si mon souhait a été exaucé.
L’intrigue reste divertissante et visuellement convaincante mais globalement l’originalité n’est pas vraiment de mise. Le show est assuré et ce n’est déjà pas si mal. Peut être que c’est moi qui attendais trop de ce film…
Au niveau des prochains rendez-vous avec l’univers DC Comics, nous aurons cette année le droit à Wonder Woman et surtout au très attendu Justice League. Quant à notre Suicide Squad, une suite est annoncée mais à l’heure d’aujourd’hui la date de sortie reste inconnue.

♥♥♥½

[BRD] Ant-Man

Ant-ManNotre pause cinéphile du weekend se fera en immersion au sein de l’univers Marvel, mais à la découverte d’un nouveau personnage, à savoir : Ant-Man. Un film signé Peyton Reed.
A peine sorti de prison et alors qu’il n’a plus le droit de voir sa fille, Scott Lang (Paul Rudd), cambrioleur de haut vol, accepte une nouvelle opération sensée rapporter un max. Sauf que rien ne se passe comme prévu, Scott récupère juste un costume bizarre. Quand il l’endosse et le manipule un peu au hasard il se retrouve réduit à la taille d’une fourmi. La voix du Pr Hank Pym (Michael Douglas) l’informe qu’il a été choisi pour être le nouvel Ant-Man, mais il y a encore du boulot avant d’être au top dans ce rôle…
Bien que le film soit présenté comme la conclusion de la phase 2 des adaptations Marvel, il ne s’intègre pas encore dans l’univers des Avengers. Loin s’en faut puisque Hank Pym quittera le SHIELD avec pertes et fracas quand il découvrira qu’ils cherchent à s’approprier son travail. Ce qui ne l’empêchera pas de se dresser contre son rival, Darren Cross (Corey Stoll) quand celui-ci contactera HYDRA afin de leur vendre la technologie PYM qu’il a réussi à reproduire.
Outre son costume de Ant-Man, Scott pourra compter sur une panoplie de gadgets développés par Hank Pym afin de l’aider dans sa mission, mais aussi sur des alliés pour le moins inattendus : les fourmis, qui lui obéiront au doigt et à l’oeil, chaque espèce ayant un rôle bien précis.
Mais incontestablement le summum au niveau des alliés de Scott est atteint quand il fait appel à ses trois complices de cambriole, une belle équipe de bras cassés ! Mais pas totalement inefficace non plus.
Je ne connaissais pas le personnage, sinon vaguement de nom, au j’ai été agréablement surpris (d’autant que je n’en avais pas entendu que du bien). Qu’il s’agisse de l’intrigue, rythmée mais toujours ponctuée de pointes d’humour, des personnages et bien entendu du visuel irréprochable, comme d’hab. Ca ne fait que confirmer ce que je savais déjà, je suis bon public pour ce genre de film !
Comme d’hab avec les films estampillés Marvel, restez jusqu’à la toute fin du film, vous aurez le droit à deux séquences post générique. L’une d’elle annonçant clairement la suite prévue, Ant-Man & The Wasp (annoncée pour 2018), pour laquelle Peyton Reed est confirmé à la réalisation et Paul Rudd et Evangeline Lilly au casting.

♥♥♥♥½