La Saint Nicolas (le 6 décembre) marque pour nous l’entrée de plain pied dans les fêtes de fin d’année. Habituellement on marque le coup en dinant d’un bol de chocolat et de figurines en pain d’épice mais cette année pas moyen de mettre la main sur les figurines en question du coup on a adapté les choses en fonction des disponibilités… Pour l’occasion le régime aura été mis entre parenthèses !
Un bol de chocolat chaud et un assortiment de pâtisseries pour le petit déjeuner histoire de bien commencer la journée ! On a clairement perdu l’habitude de bouffer aussi consistant le matin, du coup à midi nous ne jugerons pas utile de déjeuner (juste une tartelette). Par contre pour le dîner, après un apéro de rigueur, on continue sur la lancée des petits plaisirs avec un burger, des frites et un crème brûlée (commandés à American Pizza).
Mais la Saint Nicolas n’est pas uniquement l’occasion de s’en mettre plein la panse, c’est aussi le jour où l’on dresse le sapin de noël… Pour être plus juste c’est le jour où Abra décore le sapin, mon rôle consistant uniquement à descendre le carton d’emballage. Et ce pour le plus grand plaisir des chats qui voient dans ce truc un terrain de jeu plein de ressources ! C’est d’ailleurs pour ça qu’à peine le sapin dressé on a pris quelques photos, car si dans un premier temps nous réparerons au fur et à mesure les dégâts causés par les chats l’on sait pertinemment qu’au bout d’un moment on rangera directement les décos décrochées.
Soit dit en passant ça n’a pas raté, Sumi-Charoufou a été le premier à décrocher les boules de noël pour jouer avec ! Mais bon il faut pas trop se plaindre on dirait que cette année ils ont renoncé à grimper dans le sapin… De toutes façons ça ne sert à rien de s’exciter après les chats pendant la journée, on laisse faire en poussant une gueulante de temps en temps (sans beaucoup de résultat soit dit en passant) ; une fois qu’on est couchés nos bestioles s’en donnent à coeur joie dans le sapin à en juger par le carnage que l’on constate au réveil…
Jour : 7 décembre 2009
[JEUX VIDEO] Dragon Age : Origins
Depuis la saga Baldur’s Gate nombre de rôlistes sur PC attendaient avec une impatience grandissante de lui trouver un digne successeur (au risque d’en choquer certains pour moi la référence RPG reste Morrowind qui laisse au joueur une totale liberté de mouvement) et il semblerait que ce soit chose faite avec Dragon Age : Origins, DAO pour les intimes, (un autre produit Bioware, studio qui nous a habitué à des RPG de qualité, dont Mass Effect le dernier en date). Sans surprise j’ai donc craqué pour ce petit bijou afin de voir s’il tient toutes ses promesses… Et force est de reconnaître qu’il n’y a pas grand chose à redire !
Bien que ne bénéficiant pas de la licence AD&D l’univers Heroic Fantasy reste très proche de son illustre modéle. La création du personnage propose 3 races (humain, elfe ou nain) et 3 professions (guerrier, mage, voleur) avec chacune un ou plusieurs background qui définiront le scénario de départ (il y a en tout 6 scénarios disponibles) ; si ça peut paraitre léger au niveau des professions il faut savoir que chacune permet, à partir d’un certain niveau, de se spécialiser dans une branche à choisir parmi 4 possibilités offrant des bonus spécifiques et ouvrant à de nouvelles compétences…
Comme d’hab l’on incarne un héros qui va devoir sauver le monde mais contrairement aux apparences le scénario est riche et nous réserve bien des surprises au fil des heures de jeu… Au fil du jeu l’on rencontrera divers compagnons qui pourront nous accompagner par la suite et d’autres PNJ pourront se joindre à nous le temps d’une quête par exemple. Comme toujours avec Bioware il est important de faire en sorte de rester en très bon terme avec ses compagnons d’aventure si l’on souhaite accéder à certaines quêtes spécifiques et éventuellement démarrer une romance.
Rien à redire au niveau du graphisme qui est sans reproche aussi iben en jeu que lors des nombreuses cinématiques. Idem pour le gameplay, Bioware n’a rien à prouver et maîtrise parfaitement le sujet, rapidement l’on va devoir user et abuser de la pause active (on met le jeu en pause au cours du combat afin de définir une stratégie à chacun des personnages un peu comme lors d’un combat au tour par tour) afin de ne pas se laisser submerger par les ennemis. Le seul petit reproche que je pourrai faire au jeu concerne, une fois encore, sa linéarité ; si le scénario est vraiment bien fichu je le trouve un peu trop directif et pour le moment je n’ai pas encore été confronté à des choix susceptibles d’influencer directement le cours des choses.
Je joue actuellement trois persos que j’essaie de faire évoluer au même rythme afin de voir si justement par la suite on va se retrouver face à des situations ou le choix de telle ou telle option fera basculer le scénario dans un sens ou dans l’autre… Quoiqu’il en soit DAO reste un excellent jeu de rôle qui promet de longues heures de jeu avant de pouvoir le mettre au placard !
A noter aussi que le jeux propose 2 DLC (contenus téléchargeables) gratuits, une armure de haut niveau (inutilisable avant un certain temps vu le requis de 38 en force) et un espéce de golem susceptible de devenir un compagnon (pas encore eu l’occasion de rencontrer le PNJ qui me donne la quête). Un autre est disponible contre paiement mais là par contre je passe mon tour…
Enfin le titre laisse présager qu’il pourrait s’agir du premier volet d’une nouvelle saga, bien qu’étant encore loin d’avoir bouclé ce premier opus j’ai déjà hâte de voir la suite !