My name is Bonded… Jack Bonded

Au menu de l’apéro d’hier un petit nouveau sorti des distilleries Jack Daniel’s. Retour aux basiques après plusieurs recettes liquoreuses (Honey, Tennessee Fire et Apple) avec ce Jack Daniel’s Bonded.

Kezako Bonded ? Pour justifier de cette appellation le whiskey doit respecter le cahier des charges du Bottle-in-Bond et ainsi répondre à quatre critères :
– Provenir d’une seule distillerie
– Être le fruit d’une seule et même saison de distillation
– Être vieilli en fûts de chêne pendant au moins 4 ans
– Être embouteillé à 50° (100 proof)

Pour donner à son whiskey une griffe unique, les distilleurs partent de leur mashbill (mélange de céréales) initial (commun à toute la gamme Jack Daniel’s en dehors des Rye), composé à 80% de maïs, 12% d’orge maltée et 8% de seigle. Marque de fabrique du Jack, l’alcool est filtré au goutte à goutte sur du charbon d’érable (c’est le fameux Lincoln County Process) avant d’être mis en fûts. Les fûts pour le vieillissement sont sélectionnés manuellement avant d’être entaillés à l’intérieur afin que l’alcool s’imprègne davantage du goût du bois. Enfin,

Fin de la théorie, il est grand temps de passer à la dégustation. On ne va pas se mentir la première gorgée chauffe le gosier plus qu’autre chose (sans toutefois vous donner l’impression d’avaler des braises ardentes comme ça peut être le cas avec d’autres whiskeys). Ce n’est qu’à la suivante que les arômes vont se libérer en bouche, d’abord le bois de chêne puis le goût fumé du charbon pour s’achever sur une note plus douce, savant mélange de caramel et d’épices.

Vous le savez sans doute, je ne suis pas particulièrement copain avec modération quand il s’agit de taquiner l’apéro, toutefois pour l’occasion je recommande d’y aller avec parcimonie pour apprécier pleinement ce breuvage. Dans le cas contraire vous vous retrouverez rapidement avec la bouche et le palais complétement anesthésiés.

Retour sur PC… enfin !

Asus ROG G750En mars je vous avais signalé que mon PC avait rendu l’âme, heureusement que j’avais la tablette pour surfer tranquille. Mais faut bien admettre que même si ça dépanne ce n’était pas vraiment le pied au niveau du confort d’utilisation. Après quelques hésitations pour savoir si je prenais un fixe ou un portable j’ai fini par opter pour la seconde option. Restait à trouver la machine idéale et, accessoirement, à attendre que les finances permettent ce genre d’excentricité. C’est chose faite depuis hier.
Mon choix s’est porté sur un Asus de la gamme ROG (Republic Of Gamers) et le modèle G750JS :
– Processeur i7 4700 – 2,5 / 3.5 GHz
– 8 Go de RAM
– Ecran LED 17,3″ full HD
– GeForce GTX 870M 3 Go
– Clavier rétro éclairé
– Son 2.1
– 1 To de Disque dur + 256 Mo de SSD et 1 To en disque externe
Windows 8.1
Une souris gamer Asus et un sac de transport offerts.

J’ai été bluffé par le SSD, la bécane démarre en une quinzaine de secondes…
Je n’ai pas de jeux récents pour le mettre à l’épreuve mais Skyrim avec les réglages vidéo au maximum est d’une totale fluidité (en plus d’être très beau, malgré son âge). Du coup j’ai profité de l’occasion pour aller faire un tour de côté de Star Wars Old Republic (un MMO dans l’univers Star Wars), désormais 100% free to play. Là encore rien à redire, réglages graphiques au max, le jeu est parfaitement fluide.
Il va me falloir quelques temps pour installer tout ce que je veux dessus mais d’ores et déjà je peux dire que je ne regrette pas mon achat. Noël avant l’heure… Je pensais que la transition vers Windows 8.1 serait plus ardue mais finalement ça passe comme une lettre à la poste (comme d’hab je commence par désactiver l’UAC afin d’éviter les messages à répétition dés que je touche à quelque chose).