Premier arrivé, premier servi !

First In First OutBranle-bas de combat en arrivant au boulot mardi matin ! A peine le temps de souffler qu’on m’invite à déménager mon poste de travail afin de regrouper la cellule statistique autant que possible… Je sors donc de mon repaire dissimulé entre des armoires d’archives pour m’installer à ma nouvelle place, choisie par mes soins, donc au fond du bureau et à l’abri des regards indiscrets (non pas que j’ai quoi que ce soit à cacher mais je tiens à un minimum de discrétion).
Pourquoi un tel empressement me direz-vous ? Tout simplement parce que certaines personnes restent persuadées qu’il est possible de faire cohabiter 11 personnes dans un open-space conçu pour 7 ! Et chez ces mêmes personnes l’idée de base est ce bon vieil adage « premier arrivé, premier servi », même si cela doit se faire en dépit du bon sens…
Quelques explications s’imposent. Actuellement nous sommes cinq personnes à partager ce fameux open-space :
– 3 à la stats (1 chef de service et 2 statisticiens)
– 2 informaticiens
La cellule stat est en sous-effectif depuis déjà quelque temps, normalement nous devrions être 3 statisticiens… Situation qui devrait être résolue début août avec l’arrivée d’un agent en CDD longue durée. Ce qui fait un effectif « normal » de six personnes.
Mais les choses se compliquent avec l’arrivée prochaine et massive de renforts :
– 1 statisticien, en cours de recrutement
– 2 informaticiens, idem
– 1 ou 2 assistants à maîtrise d’ouvrage, 1 déjà recruté qui prendra ses fonctions le 19 juillet et 1 autre poste en cours de discussion
C’est bien tout ça mais faudrait qu’on nous explique comment entasser tout ce beau monde dans notre open-space… Mon déménagement fait que le bureau perpendiculaire au mien est réservé à la cellule statistique et plus particulièrement à la personne qui doit débarquer début août. Pour le reste j’aurai tendance à dire : démerdez-vous ! Et c’est d’ailleurs dans l’optique d’une réaction contre ce principe de « premier arrivé, premier servi » que nous avons décidé de réorganiser la cellule stat en essayant de rester cohérent.
Concrètement je vois encore la possibilité d’installer un bureau de sorte que chacun puisse bénéficier d’un minimum de confort (à la place que j’occupais précédemment) ; éventuellement on peut y caser deux agents mais déjà ils se sentiront à l’étroit… Pour le reste ça deviendra franchement du grand n’importe quoi ! Et dire que notre service s’appelle Cellule Gestion et Organisation (CGO) ; je trouve qu’on gère bien mal notre propre organisation… Mais c’est bien connu « les cordonniers sont les plus mal chaussés » !

[TV News] FlashForward

FlashForwardDimanche après-midi Canal+ proposait les deux premiers épisodes de la série FlashForward, un pitch prometteur associé à un gros buzz il n’en fallait pas plus pour que je brûle d’impatience de découvrir la chose…
Retour sur l’idée de base avant d’aller plus loin. Pendant 2 minutes et 17 secondes au même instant toute la population mondiale s’évanouit, durant leur « perte de connaissance » les survivants (évidemment l’on dénombre de nombreuses victimes dans les crash et accidents en tout genre survenus pendant le black out) se sont vues en situation dans un futur de très exactement 6 mois… Sauf que certaines personnes n’ont pas eu de « vision » ; que cela signifie-t-il pour elles ? Une cellule du FBI enquête sur tous les fronts en rapport avec ce black out mondial, d’une part afin de découvrir comment il a pu se produire mais aussi pour déterminer ce qui se passera de si important dans 6 mois et surtout quelle est la suite des événements… Pour cela ils recoupent un maximum de témoignages en plus de mener une périlleuse enquête de terrain…
Pas évident à résumer en quelques lignes vu qu’en fait c’est bien plus complexe qu’il n’y parait… Il n’en reste pas moins que j’ai tout de suite accroché et j’ai vraiment hâte d’en savoir plus en espérant qu’au terme de cette unique saison nous ayons les réponses à toutes les questions soulevées. Après avoir parcouru divers forums il s’avère qu’une seconde saison était prévue avant d’être finalement annulée ; mais bon il semblerait que malgré tout l’on connaisse les tenants et les aboutissants du black out à la fin de la saison (comme souvent les dernières minutes du dernier épisode lancent une nouvelle intrigue, c’est elle qui restera lettre morte faute de suite).
Pour ma part je suis plus un adepte des mini-séries qui ont un début et une fin après quelques épisodes, le problème des séries TV c’est que bien souvent à force de vouloir user jusqu’à la corde une franchise qui marche ça devient du grand n’importe quoi et forcément le téléspectateur se lasse. Le meilleur exemple reste Lost, initialement prévue pour 10 saisons la série a été raccourcie à 6 saisons, du coup elle s’est retrouvée empêtrée dans ses propres énigmes aux réponses complètement abracadabrantes, quand elles ne sont pas purement et simplement zappées… J’espère vraiment qu’à l’issue de cette unique saison de FlashForward nous aurons de vraies réponses, ce serait de démarrer sur les chapeaux de roue pour finir dans le mur ! Au pire des cas la série est adaptée du roman homonyme de l’écrivain canadien Robert J. Sawyer, déjà un bon point il a été traduit en français, reste à savoir s’il sera disponible sur le Territoire…

[DVD] Faubourg 36

Faubourg 36Séquence nostalgie pour notre pause DVD du week-end puisque nous avons fait un bond dans le passé avec le film Faubourg 36, réalisé par Christophe Barattier.
Paris, 1936. Alors que la France fête l’arrivée au pouvoir du Front Populaire trois amis (Gérard Jugnot, Clovis Cornillac et Kad Merad) décident de faire revivre l’ancien cabaret qui les employait mais encore faut il le remettre à neuf et trouver une troupe digne de ce nom afin que le succès soit au rendez-vous. Les difficultés s’enchaînent mais la détermination des trois compères est sans faille, d’autant qu’ils peuvent compter sur le soutien de la population du quartier et sur le talent d’une jeune chanteuse (Nora Arzeneder)… Mais parfois même la meilleure volonté du monde ne suffit à surmonter les nombreux obstacles qui poussent inexorablement le cabaret vers une nouvelle faillite…
Le trio Barattier / Jugnot / Merad avait déjà travaillé ensemble sur le précédent film du réalisateur, Les Choristes ; et une fois encore la musique et la chanson sont les invités d’honneur de ce nouveau long métrage. Les textes écrits par Frank Thomas et mis en musique par Reinhardt Wagner collent parfaitement à l’époque (j’ai personnellement été bluffé en découvrant que ce n’était pas d’authentiques chansons d’époque) ; à noter que les chansons sont interprétées par les acteurs eux même et là encore on ne peut être que sous le charme de la voix envoûtante de Nora Arzeneder que l’on ne peut s’empêcher de comparer à Piaf. Par contre il est plutôt surprenant de voir Clovis Cornillac pousser la chansonnette, il s’en sort pas si mal que ça en plus ! Depuis que j’ai vu le film je cherche désespérément la bande originale en CD (ou autre support un peu moins officiel) mais sans succès…
Mais l’intérêt du film ne réside pas uniquement dans sa bande son, les décors aussi sont sublimes (le Paris des années 30/40 est superbement reconstitué, le voyage dans le passé est aussi bien visuel que sonore) et bien entendus les acteurs sont au sommet de leur art, les différentes intrigues se mêlent et se résolvent au fur et à mesure que l’on approche du clap de fin ; même si l’on perçoit assez tôt un dénouement inévitablement tragique on se prend à espérer… Comme les personnages du film on a envie de croire à un miracle…
Pour faire simple on va dire que c’est du grand et beau cinéma français plein d’émotions sans non plus en faire des tonnes… Un film qui mérite de rester, au même titre que Les Choristes, dans les annales du cinéma français.

Quand le sport et la politique s’emmêlent…

Carton rouge !Le Mondial 2010 aura aussi été l’occasion d’assister à un curieux cocktail de politique et de sport… Et encore quand je parle de cocktail le mot juste serait plutôt franchement l’ingérence du monde politique dans le milieu sportif. Et pas seulement en France comme vous avez sans doute pu le constater.
Mais en bon français un tantinet chauvin je vais commencer par un rapide rappel de ce qui s’est passé dans l’hexagone (et au-delà). Le premier épisode aura été la visite de Roselyne Bachelot, ministre de la santé et des sports, à l’équipe de France après le ridicule putsch des joueurs ; l’occasion de leur remonter les bretelles et de leur rappeler qu’au-delà de leur petite personne ils sont aussi les représentants de leur pays…
Puis il y a eu l’entretien de Thierry Henry avec Nicolas Sarkozy au retour des Bleus (il est toujours difficile de savoir qui du footballeur ou du Président a été l’initiateur de cette rencontre). Par la suite Bachelot ira même jusqu’à demander la démission de Jean-Pierre Escalettes le président de la FFF (soit dit en passant c’est dommage qu’il ait été nécessaire de lui suggérer de virer, il aurait dû avoir la sagesse de prendre cette décision de son propre chef).
Et voilà que Domenech et Escalettes sont entendus à l’Assemblée Nationale pour rendre des comptes !!! Tout ça pour quoi ? Que dalle ! Beaucoup de remue ménage et de brassage d’air pour faire oublier des sujets plus graves et surtout plus politiques…

Mais il y en a qui vont plus loin, ainsi au Nigéria le président Jonathan Goodluck envisage de suspendre l’équipe nationale des Super Eagles de toutes les compétitions internationales pour une durée de deux ans en punition de leurs contre-performances lors de la compétition (éjectés au premier tour avec un nul et deux défaites). Une ingérence poussée à son maximum que la FIFA pourrait bien ne pas apprécier la politisation de la fédération nigériane et envisager des sanctions… Drôle de logique que de vouloir préparer la prochaine Coupe du Monde en privant sa propre équipe de deux années de compétition… Mais bon la logique et la politique ne font pas toujours bon ménage…

Finalement ce sont ceux pour qui l’ont se faisait le plus de soucis qui créent la bonne surprise. Après l’élimination de la Corée du Nord à l’issue du premier tour (trois défaites et un seul inscrit… ça vous rappelle pas quelque chose ce triste bilan ?) on pouvait craindre une réaction virulente du pouvoir en place ; la rumeur populaire parlait même de déportation au goulag ou de travaux forcés dans les mines mais finalement ils ont été plutôt bien accueillis et certains joueurs pourraient même rejoindre de grands clubs européens… Avec la bénédiction du pouvoir suprême.

Point Cadres – Droit de réponse de Monsieur Monneret

Je ne saurai vous dire exactement pourquoi mais cette histoire d’altercation entre une cliente et le gérant de Point Cadres me turlupinait, loin de moi l’intention initiale de vouloir mettre en doute les dires d’une amie mais dans mon esprit (tordu) quelque chose ne collait pas. Du coup j’ai fait ce que j’estimais le plus juste, je me suis rendu à Point Cadres afin d’avoir un entretien avec Monsieur Monneret, directement mis en cause par le mail cité dans le précédent post. D’emblée je suis tombé sur un homme charmant et posé, visiblement sidéré (pour ne pas dire plus) par toute cette histoire et l’ampleur qu’elle est en train de prendre. Voici les faits tels qu’il me les a retranscris, une employée et un client habitué du magasin pouvant témoigner de leur véracité.

Vendredi dernier à 11h50 (soit dix minutes avant la fermeture de la boutique), la cliente, Madame Monreal Claudine (désolé pour la levée de l’anonymat mais je tiens à ce que les deux parteis soient logées à la même enseigne), vient récupérer trois encadrements. Monsieur Monneret lui en remet deux et aussitôt elle se plaint d’une mauvaise finition au niveau des motifs des cadres qui ne collent pas l’un à l’autre, le gérant lui explique qu’il est quasiment impossible de faire correspondre parfaitement les motifs à moins de retailler le cadre en plusieurs endroits ce qui bien entendu entrainerait une hausse du tarfi (15.000 XPF au lieu des 6.500 XPF facturés). Ne parvenant pas à mettre la main sur le dernier cadre il passe un coup de fil à son épouse (qui travaille avec lui) mais elle était en déplacement, le portable coupé, il informe donc Madame Monreal de la situation et c’est alors que les choses dérapent totalement…
Madame Monreal s’emporte, précisant qu’elle ne sortirait pas de la boutique avant d’avoir récupéré ses biens ; Monsieur Monneret lui demande de repasser dans l’après-midi, après le retour à la boutique de son épouse. La situation s’enveniment et la cliente réclame la restitution de ses biens, Monsieur Monneret démonte soigneusement les encadrements afin de lui restituer les photos, c’est alors qu’il voit Madame Monreal se saisir d’un tournevis et le fixer avec je cite « des yeux de folle ». Inquiet et apeuré il lui saisit alors le poignet et jette le tournevis au sol avant de lui restituer les photos et de l’inviter à sortir. La cliente vocifère qu’elle est quelqu’un d’influente (sic) et qu’il entendra parler d’elle. En quittant la boutique Madame Monreal endommage un tableau avant de dégrader l’enseigne murale, Monsieur Monneret s’emporte à son tour le disant que si elle ne sortait pas tout de suite il allait « la foutre dehors à coups de pied au cul ». Le calme revenu Monsieur Monneret ferme le magasin pour la pause déjeuner.
En début d’après-midi Madame Monneret le rejoint à la boutique et trouve le troisième ouvrage, elle contacte donc Madame Monreal l’invitant à venir le récupérer quand elle serait disponible, précisant qu’en vertu de la loi au bout d’un an et un jour le travail serait considéré comme appartenant de droit au magasin…

Fin de l’histoire… Jusqu’à la large diffusion (à laquelle j’ai contribué) du mail de Madame Monreal.
J’avoue que je suis resté sans voix devant le témoignage de Monsieur et Madame Monneret, s’ils jouaient la comédie alors franchement ils peuvent postuler aux Oscars, tout y était la voix chevrotante par moment, les tremblements nerveux, les yeux brillants… Bref rien ne me permet de douter de leur bonne foi, cet affaire m’aura révélé une facette inconnue d’une personne que je croyais connaitre ; je ne remets pas pour autant notre amitié en cause mais je tenais à remettre les choses à leur place (et je dois bien avouer que désormais je la regarderai différemment). Claudine a littéralement pété un câble face à une contrariété et plutôt que de s’en excuser après coup, elle a tout fait pour que la situation pourrisse et s’envenime.

Quant aux suites de l’affaire Monsieur Monneret a bien entendu déposé plainte pour diffamation, l’enquête est en cours. Par ailleurs son avocat diffusera prochainement un droit de réponse bien plus circonstancié que celui-ci fait à la va-vite pour laver l’honneur d’un commerçant sali par les mensonges d’une cliente.
Pour ma part je ne modifie pas une virgule de mon post précédent, non que je persiste et signe (vous l’aurez compris) mais simplement pour m’inviter à éviter les réactions à chaud quand de tierces personnes sont impliquées ; la logique aurait voulu que j’entreprenne cette démarche avant de publier quoi que ce soit mais j’étais loin d’imaginer que moi aussi je serai un pion de plus dans cette sinistre mise en scène. Toutefois je présente ici, par écrit mes excuses à Monsieur et Madame Monneret (j’ai déjà eu l’occasion de le faire de vive voix). Et un grand mea culpa à tous et toutes, je me suis laissé abuser et je m’en veux d’avoir été très con sur ce coup…

Le client est roi… Sauf chez Point Cadres à Nouméa !

Je ne peux résister à l’envie de vous faire part d’un mail reçu ce matin d’une amie qui a vécu une expérience plutôt déplorable. Si je partage ce mail c’est bien entendu parce que je suis sûr à 100% de la fiabilité de cette personne, saine de corps et d’esprit elle n’est pas du genre à fabuler, ni à dénigrer sans raison autrui.
Je veux bien admettre que le commerce est un métier qui peut être difficile et demande souvent de prendre sur soi, mais le maître mot du commerçant devrait rester le respect de sa clientèle (surtout quand celle-ci se montre courtoise et respectueuse), sans elle il ne ferait pas de vieux os et sincèrement c’est tout le mal que je souhaite à ce monsieur… Je suggérerai donc volontiers à ce monsieur de changer de métier, ou au moins d’apprendre à reconnaître ses erreurs et s’excuser…

La scène se déroule au magasin Point Cadres, rue de Verdun à Nouméa.

Je devais aller récupérer des encadrements que j’avais demandés.Sur les 3 que j’avais déposés, 2 seulement étaient trouvables.
La qualité de ces premiers ouvrages me déçurent, et j’en informai le commerçant. Puis vint le temps de chercher le 3ème encadrement demeurant introuvable
par lui et sa fille.Il me pria de revenir alors l’après-midi ce qui m’était alors impossible et lui en fis part. J’insistai donc pour récupérer l’intégralité de ma commande. Je m’étais déplacée et ne désirai pas revenir sur la ville l’après midi.
Il commença alors à s’énerver, me rétorquant que sur sa commande, ce troisième encadrement n’apparaissait pas ! Et devant mon insistance, son agressivité explosa littéralement. Il m’insulta copieusement, délit de sale gueule (selon lui, je faisais la gueule à chaque fois que je rentrais dans son magasin), puis me traita de « mauvais cliente » et de « conne ».
Je ne savais pas comment réagir. Sa réponse était complètement inadaptée, et ce n’était qu’une avalanche d’agressivité. Je ne me démontai pas et réitérai ma demande de récupérer l’intégralité des images que j’avais déposées. Il se rua alors sur les deux encadrements, dont il sortit les images et m’exhorta de sortir de sa boutique, en me traitant bien évidemment au passage de « grosse conne ».
De colère, je fis tomber un outil placé sur son établis. Ce fut le coup de grâce pour lui, qui vint à mon contact me menaçant, et disant qu’il allait me frapper ! J’ai eu peur. Sa fille l’éloigna de moi.
A mon tour, je le traitai de « mauvais commerçant » et de « gros con », puis le menaçai de porter plainte. Sa fille quant à elle, hurlai dans le magasin que je n’avais pas à parler comme ça à son père. Scène complètement apocalyptique !!!
Il répondit alors qu’il n’avait rien à craindre de la police, qu’elle ne ferait rien. Je lui rétorquai que même si la police ne faisait rien, quant à moi je comptais bien rester dans son magasin jusqu’à ce qu’il me rende mes « biens ». Il vint vers moi pour me frapper une deuxième fois, et sa fille intervint encore pour l’éloigner de moi ! Il m’ordonna alors de « dégager » de son magasin, et qu’il ne voulait plus voir ma tête de « grosse conne » chez lui. Et ce faisant accompagna ses paroles de gestes, puisque je fus foutue dehors comme une malpropre…
Une heure plus tard sa fille m’appelle pour m’informer par téléphone qu’ils avaient retrouvé la fameuse troisième image. Et que si je ne venais pas la récupérer d’ici un an et un jour, ils se l’approprieraient… Je raccrochai !

Cette histoire me laisse encore sous le choc et l’incompréhension !!! Je me pose des questions sur la violence de ce personnage et sa capacité à accueillir de la clientèle. Si je vous envoie ce mail, c’est aussi parce que je compte sur vous pour diffuser le plus largement possible ce message ! Et pour que la publicité qui soit faite soit à la hauteur de ce personnage…

Suit le nom de ce sinistre individu qui ose se prétendre commerçant, information que je ne ferai pas figurer dans le présent post, le nom du magasin est, à mon avis, largement suffisant pour permettre d’identifier sans l’ombre de doute la « scène de crime »… Je me demande simplement si ce type aurait réagit de la même façon face à un client, de toutes façon entre misogynie et connerie il est difficile de faire la part des choses, on dire fifty-fifty pour monsieur R. M., gérant du magasin Point Cadres. Avec peut être un petit bonus niveau connerie, Point Cadres est en effet une franchise nationale qu’il exploite, au-delà de sa propre image c’est l’image de la marque qu’il salit par ce type de comportement ordurier indigne d’un vrai commerçant…