Le client est roi… Sauf chez Point Cadres à Nouméa !

Je ne peux résister à l’envie de vous faire part d’un mail reçu ce matin d’une amie qui a vécu une expérience plutôt déplorable. Si je partage ce mail c’est bien entendu parce que je suis sûr à 100% de la fiabilité de cette personne, saine de corps et d’esprit elle n’est pas du genre à fabuler, ni à dénigrer sans raison autrui.
Je veux bien admettre que le commerce est un métier qui peut être difficile et demande souvent de prendre sur soi, mais le maître mot du commerçant devrait rester le respect de sa clientèle (surtout quand celle-ci se montre courtoise et respectueuse), sans elle il ne ferait pas de vieux os et sincèrement c’est tout le mal que je souhaite à ce monsieur… Je suggérerai donc volontiers à ce monsieur de changer de métier, ou au moins d’apprendre à reconnaître ses erreurs et s’excuser…

La scène se déroule au magasin Point Cadres, rue de Verdun à Nouméa.

Je devais aller récupérer des encadrements que j’avais demandés.Sur les 3 que j’avais déposés, 2 seulement étaient trouvables.
La qualité de ces premiers ouvrages me déçurent, et j’en informai le commerçant. Puis vint le temps de chercher le 3ème encadrement demeurant introuvable
par lui et sa fille.Il me pria de revenir alors l’après-midi ce qui m’était alors impossible et lui en fis part. J’insistai donc pour récupérer l’intégralité de ma commande. Je m’étais déplacée et ne désirai pas revenir sur la ville l’après midi.
Il commença alors à s’énerver, me rétorquant que sur sa commande, ce troisième encadrement n’apparaissait pas ! Et devant mon insistance, son agressivité explosa littéralement. Il m’insulta copieusement, délit de sale gueule (selon lui, je faisais la gueule à chaque fois que je rentrais dans son magasin), puis me traita de « mauvais cliente » et de « conne ».
Je ne savais pas comment réagir. Sa réponse était complètement inadaptée, et ce n’était qu’une avalanche d’agressivité. Je ne me démontai pas et réitérai ma demande de récupérer l’intégralité des images que j’avais déposées. Il se rua alors sur les deux encadrements, dont il sortit les images et m’exhorta de sortir de sa boutique, en me traitant bien évidemment au passage de « grosse conne ».
De colère, je fis tomber un outil placé sur son établis. Ce fut le coup de grâce pour lui, qui vint à mon contact me menaçant, et disant qu’il allait me frapper ! J’ai eu peur. Sa fille l’éloigna de moi.
A mon tour, je le traitai de « mauvais commerçant » et de « gros con », puis le menaçai de porter plainte. Sa fille quant à elle, hurlai dans le magasin que je n’avais pas à parler comme ça à son père. Scène complètement apocalyptique !!!
Il répondit alors qu’il n’avait rien à craindre de la police, qu’elle ne ferait rien. Je lui rétorquai que même si la police ne faisait rien, quant à moi je comptais bien rester dans son magasin jusqu’à ce qu’il me rende mes « biens ». Il vint vers moi pour me frapper une deuxième fois, et sa fille intervint encore pour l’éloigner de moi ! Il m’ordonna alors de « dégager » de son magasin, et qu’il ne voulait plus voir ma tête de « grosse conne » chez lui. Et ce faisant accompagna ses paroles de gestes, puisque je fus foutue dehors comme une malpropre…
Une heure plus tard sa fille m’appelle pour m’informer par téléphone qu’ils avaient retrouvé la fameuse troisième image. Et que si je ne venais pas la récupérer d’ici un an et un jour, ils se l’approprieraient… Je raccrochai !

Cette histoire me laisse encore sous le choc et l’incompréhension !!! Je me pose des questions sur la violence de ce personnage et sa capacité à accueillir de la clientèle. Si je vous envoie ce mail, c’est aussi parce que je compte sur vous pour diffuser le plus largement possible ce message ! Et pour que la publicité qui soit faite soit à la hauteur de ce personnage…

Suit le nom de ce sinistre individu qui ose se prétendre commerçant, information que je ne ferai pas figurer dans le présent post, le nom du magasin est, à mon avis, largement suffisant pour permettre d’identifier sans l’ombre de doute la « scène de crime »… Je me demande simplement si ce type aurait réagit de la même façon face à un client, de toutes façon entre misogynie et connerie il est difficile de faire la part des choses, on dire fifty-fifty pour monsieur R. M., gérant du magasin Point Cadres. Avec peut être un petit bonus niveau connerie, Point Cadres est en effet une franchise nationale qu’il exploite, au-delà de sa propre image c’est l’image de la marque qu’il salit par ce type de comportement ordurier indigne d’un vrai commerçant…