[DVD] Star Wars – The Clone Wars

The Clone Wars

Fan inconditionnel de la saga Star Wars (et oui je suis fan de beaucoup de choses, pas de demies-mesures avec moi, j’adore ou je déteste) je dois reconnaitre que c’est avec une certaine appréhension que j’ai acheté le DVD The Clone Wars, mais bon assumons jusqu’au bout notre passion… Avant d’entrer dans le vif du sujet laissez-moi vous expliquer le pourquoi de mon appréhension : je n’ai pas aimé la série TV homonyme avec son graphisme un peu trop « manga » pour l’univers Star Wars et franchement j’ai du mal avec une version animée de Star Wars, la magie n’est plus la même, le rêve non plus…
Un rapide coup d’oeil sur le scénario : alors que les chevaliers jedis sont en guerre contre les séparistes menés par le Comte Dooku (l’histoire se déroule entre les épisodes 2 et 3 pour vous situer dans la chronologie), Anakin Skywalker se voit confier l’entraînement d’une jeune padawan ; leur première mission sera de retrouver le fils de Jabba The Hutt qui a été enlevé. Une mission a priori anodine mais qui se révelera faire partie d’un complot à grande échelle visant à décrédibiliser la République et les jedis…
Au final le graphisme, bien que largement supérieur à celui de la série TV, est toujours aussi déconcertant avec des traits trop « bruts », l’animation n’est pas toujours irréprochable (loin s’en faut) mais surtout et plus que tout le film n’apporte que dalle à l’histoire (au contraire on pourrait même se demander ce qu’Anakin a foutu de sa padawan entre la fin de The Clone Wars et l’épisode 3)… J’avais des doutes et malheureusement je ne peut que déplorer de ne pas avoir été surpris par le résultat. D’après ce que j’en sais ce film serait une forme d’intro à la future série TV inspirée de Star Wars, je me faisais une joie de voir la saga se prolonger sur petit écran mais là c’est plutôt une douche froide si cela devait se confirmer.
N’allez pas croire que je ne jure que par la double trilogie de Georges Lucas, j’ai lu et adoré la plupart des romans (parus aux Editions Fleuve Noir) prolongeant (souvent avec brio) la saga jusqu’à la défaite totale de l’Empire et l’armistice (série « La Main De Thrawn » située 19 ans après l’épisode IV considéré comme l’an 0 de la  saga). Par contre j’avoue ne pas avoir adhéré à la série suivante, Le Nouvel Ordre Jedi, qui s’écarte trop à mon goût de la saga originale avec l’apparition d’un nouvel ennemi et la disparition de certains personnages phares de Star Wars (Chewbacca sera le premier à mourir). En résumé j’veux bien rester fidèle à Star Wars mais il faut que le support apporte un réel plus à la saga plutôt que de se contenter d’exploiter un filon commercial…

[BOUQUIN] Stephen King – Duma Key

Stephen King - Duma Key

Fan de Stephen King depuis toujours (j’ai lu tous ses bouquins sauf un, mais je compte bien corriger le tir très prochainement) je suis de ceux qui le considère comme un maître incontesté du thriller fantastico-horrifique. Aussi il va sans dire que quand j’ai découvert en librairie son dernier roman, « Duma Key« , je me suis rué dessus même si je n’ai commencé à le lire que plus tard (pour diverses raisons).
Permettez-moi de commencer par une rapide présentation du scénario du roman : après un grave accident du travail et un divorce un chef d’entreprise vient chercher un peu de répit sur une île au large de la Floride. Là il va nouer de nouvelles amitiés mais surtout il va se découvrir un talent de peintre qu’il ignorait ; sauf qu’il ne tardera pas à découvrir que ce nouveau don lui confère des pouvoirs surprenants mais surtout que sa « muse » n’est peut être pas aussi bienveillante qu’elle n’y parait…
Comme souvent chez le King il fait fait monter la pression lentement mais surement, mais je dirai que cette fois il pousse la tendance à son paroxysme en s’attardant d’avantage sur ses personnages afin de les rendre aussi attachants et « vivants » que possible tant et si bien que ce n’est que dans le dernier tiers du roman que les choses se précisent et se précipitent ; par contre une fois lancé plus rien ne l’arrête et l’on reste scotché au bouquin jusqu’à connaître le fin mot de l’histoire.
Ce n’est pas la première fois que Stephen King aborde le processus créatif au travers de personnages devenus victimes de leur muse (il me semble que son premier essai en la matière est « La Part Des Ténèbres« ) mais malgré tout il renouvelle à chaque tentative le genre… Malgré tout si j’étais psy j’me poserai des questions sur le bonhomme et son propre processus créatif, ne serait-il pas lui aussi un peu tourmenté par une muse invisible ? Si oui je ne peux que lui suggérer de ne jamais rompre le charme, car même si « Duma Key » peut paraitre un peu déconcertant pour les fans avides de sensations fortes il n’en reste pas moins parfaitement maîtrisé et abouti. J’aurai presque tendance à dire : comme d’hab…

Portrait chinois

Ca ne sert à rien, ça ne veut pas dire grand chose (à moins d’être psy) mais ça ne prend que quelques minutes…

Si j’étais un objet, je serai un téléphone pour garder le contact avec ma famille et mes amis
Si j’étais une saison, je serai l’automne, toute en demi-teinte
Si j’étais un plat, je serai une raclette pour la convivialité
Si j’étais un mammifère, je serai un gros nounours grognon
Si j’étais un oiseau, je serai un corbeau
Si j’étais un poisson, je serai un requin blanc
Si j’étais un reptile, je serai un varan
Si j’étais une chanson, je serai « Fatigué » de Renaud
Si j’étais une couleur, je serai le noir parce que noir c’est noir
Si j’étais un roman, je serai « Le Seigneur Des Anneaux » de Tolkien
Si j’étais une légende, je serai la légende de Roi Arthur en souvenir de mes origines bretonnes
Si j’étais un personnage de fiction, je serai un héros tourmenté voire ambigu genre Batman
Si j’étais un film, je serai la saga Star Wars
Si j’étais un dessin animé, je serai « Le Roi Lion »
Si j’étais une arme, je serai une dague, discrète et mortelle
Si j’étais un endroit, je serai un lieu inexploré et inaccessible
Si j’étais une devise, je serai « Carpe Diem » pour vivre libre de toute contrainte
Si j’étais un air, je serai une douce mélodie pour oublier les tensions
Si j’étais un élément, je serai l’air, intangible, invisible mais vital
Si j’étais un végétal, je serai un chêne pour prouver que même les glands peuvent réussir
Si j’étais un fruit, je serai une pomme parce que c’est vachement tentant de la croquer
Si j’étais un bruit, je serai bref et sec tel un claquement de fouet
Si j’étais un climat, je serai une tropical et doux
Si j’étais un loisir, je serai synonyme de détente quelle que soit sa forme
Si j’étais une planète, je serai encore inconnue au fin fond d’une lointaine galaxie
Si j’étais un vêtement, je serai un peignoir pour réchauffer vos nuits d’hiver
Si j’étais une pièce, je serai le salon pour la détente et la convivialité
Si j’étais un véhicule, je serai un avion pour aller toujours plus loin , toujours plus vite
Si j’étais un adverbe de temps, je serai demain pour aller toujours de l’avant
Si j’étais une qualité, je serai la gentillesse
Si j’étais un défaut, je serai la rancune

A vous l’honneur si le coeur vous en dit… Vous voyez j’mentais pas quand je disais que je posterai tout et n’importe quoi, vous pourrez pas dire que je ne vous avais pas prévenu 🙂